La gourmandise.

Celui qui est avide de bonheur ne sera jamais contenté.

Les petites choses ont souvent beaucoup plus de valeurs que ce qu'elles osent démontrer.

Je t'aime.

Trois mots qui symbolisent bien des autres choses
Trois autres qui symbolisent bien d'autres choses, ou bien,
Trois choses qui se symbolisent en d'autres mots.

J'ai peur d'oublier
J'ai peur que l'on m'oublie mais,
j'ai encore plus peur d'oublier cette peur.

L'abruti.

Je me sens abruti quand je me fais de long discours... à voix haute.
Je crois avoir l'air assez dingue lorsque j'écoute une chanson et que je fais des faces dans le vide et que j'ai l'impression de voler.

Je suis complètement fou lorsque j'imagine le décor et que plus rien n'existe.
J'entends des voix et je me perds dans ma tête.

Si seulement le monde s'imaginait moins de lui-même...

Les mots qui choquent

Il semble parfois que je n'ai aucun tact sur le choix de mes mots. Ils s'écrivent ou se disent d'eux-mêmes. Je ne comprends pas toujours en quoi ils peuvent distraire les sourires.
En fait, je ne comprends pas du tout.

Les excuses s'additionnent, si seulement, et seulement si, je pouvais les contrôler mieux, je crois que j'améliorais de beaucoup mes relations sociales quasi inexistante. Encore une question d'anticipation on dirait bien.

Je tiens plus que tout à mes acquis affectif même si cela ne parait pas toujours.
Je regrette une grande partie des gens qui s'éloignent de moi, pas tous, une grande partie. Ceux avec qui un malentendu ou d'autres choses plus ou moins banal sont arrivées et on brisé cette relation.

J'aime peut-être trop les réconciliations parce que ça me donne toujours l'impression que l'on est plus proche des gens que ce qu'il est en réalité, ou plutôt, ça donne envie de ne plus être en conflit parce que dans ces cas là...

Je m'ennuie beaucoup trop d'eux.
Je les provoque, je me rappelle des bons moments, je les regrette.

Je ne veux pas perdre à nouveau ce que j'ai acquis, je ne veux pas perdre ce que j'ai et je ne veux surtout pas perdre ce que j'aurai.

J'aimerais être plus simple.

La rédemption d'une sainte stupidité.

Mais où est donc Carni Or?

Je cherche en moi une façon d'obtenir la rédemption.
J'ai été pardonné mais je ne l'ai pas encore fait. Je m'intrigue moi-même. Ces questions sans réponses sont plus douloureuses que bien des choses et celles-ci en particulier deviennent lourdes.

J'ai réussi à exprimer des choses que je n'avais encore jamais été capable mais j'ai l'impression d'avoir encore tant de choses à dire, tant de choses à voir.

J'ai peur une fois de plus de pousser le bouchon un peu trop loin. Je suis beaucoup trop doué dans la destruction, pourtant les gens sont tellement prévisibles.

Apprendre à anticiper, cesser l'impulsivité, comprendre.

Je cherche une chance de prouver ce que je vaux réellement.
Laisse moi le faire.

Le schizo

Je marche seul dans la rue et je me parle en anglais.
Voilà la longue route de ma folie.

Je crois en savoir et je résume les évènements passés, je me rends compte que je fais à peu près n'importe quoi à temps plein. Il faut dire que je devrais être payé sur mes décisions au moins j'aurais le luxe de dire que je suis payé pour faire ce que je fais.

Bon, marchant vers mon retour à la maison après une très bonne soirée je parle et je parle à mon subconscient, très conscient, avec ma voix délicieuse dans une langue étrangère qu'est l'anglais.

EH OUI, je l'ai vraiment fait.

Bonne nuit le monde.

La folie est un art sain

Qui suis-je pour quantifier ma propre folie? Qui suis-je pour décider que la folie se quantifie?

Un simple degré ou plusieurs, mais ce n'est pas très important.

Ma folie à moi, ma névrose, c'est ma façon de penser.
Ça ne s'explique juste pas.

J'exprime certains éléments sous forme rationnel, des éléments qui n'ont aucune base rationnelle.

Demain j'écrirai peut-être plus.